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| look at you, looking at me. i know you know how i feel. | |
| Auteur | Message |
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Sally Duncan
Messages : 85 Date d'inscription : 12/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: (dispo')
| Sujet: look at you, looking at me. i know you know how i feel. Mer 12 Aoû - 9:18 | |
| -{ DUNCAN SALLY }-( loving you is hard, being here is harder )- cykeem white + ©googleimageNOM PRENOM: tes parents n'ont rien trouvé de mieux pour te pourrir la vie que de te donner un prénom de gonzesse ; Sally et dieu sait que t'en as souffert étant plus jeune. c'était pas les sobriquets qui manquaient et t'aurais volontiers explosé la tronche de tout ceux qui se fichaient de toi mais ton nom de famille, Duncan était une image de marque que tu te devais de protéger pour le bien être de ta misérable famille. AGE: à vingt-deux ans à peine, tu détestes le monde entier. enfin, surtout tes parents, mais ça se répercute sur les autres de toute évidence. DATE DE NAISSANCE/LIEU: t'es né ici, au mois de janvier. la date est approximative parce que ton père n'était pas là le jour de l'accouchement et ta mère t'a mise bas entre deux rails de coke. du coup, sur ton acte de naissance, t'es né un dix-sept mais ta famille a toujours fêté tes anniversaires un dix-neuf. ORIGINE(S)/NATIONALITÉ: ton père était un français trop lâche pour assumer son rôle, donc il s'en est retourné dans son Europe natale. quant à ta mère, elle est restée plantée ici, où elle a vu le jour. donc t'es américain même si dans tes veines, y a de quoi faire un panier de croissants et de pains au chocolat. MÉTIER/ETUDES: t'as abandonné l'école avant sa fin. de toute façon, t'es pas l'genre de garçon qui bosse dure et qui suit les cours, toi t'étais celui qui emmerdait toujours les autres et qui répondait à sa prof. alors forcément, on t'a fichu à la porte et ça t'a poussé à te trouver un job. tu fais rien de bien glorieux, t'es éboueur et, de temps en temps, tu donnes un coup de main à la boucherie du coin. mais ça rapporte de l'oseille et l'oseille ça permet à ta mère de faire un plein de bouffe. SITUATION FINANCIÈRE: t'es pas encore à la rue mais c'est tout comme. ta mère paie le loyer comme elle le peut, tu la soupçonnes parfois de coucher avec le proprio' pour y arriver. quant à toi, tu gagnes tout juste de quoi l'aider et te payer tes paquets de clopes. y a pas à dire, z'êtes bien misérables tous les deux ($). SITUATION AMOUREUSE: cupidon, tu l'emmerdes. sa flèche, ses belles paroles et ses promesses. t'aimes personne, juste ta mère parce que t'as l'impression d'lui être redevable. elle t'a porté huit mois dans son bide, d'ailleurs elle te le rappelle constamment. alors tu te montres gentil avec elle même si, dans l'fond, elle non plus, tu l'aimes pas. SITUATION FAMILIALE: ton père est un connard, il a sauté ta mère durant un voyage d'étude, ils avaient dix-huit ans, et puis, six mois plus tard, il est rentré chez lui en Europe. ta mère, elle s'est retrouvée toute seule, le bide sur les pieds et sans avenir. parce que forcément, tes grands-parents, ils ont plus voulu entendre parler de leur fille chérie quand ils ont su qu'elle s'était faite engrossée. alors ta mère, elle s'est battue toute sa vie pour t'offrir un foyer. t'as personne d'autre qu'elle dans ta vie et encore, ça s'passe plutôt mal. parce qu'elle est en colère contre la terre entière, elle s'en prend à toi. des baffes, t'en as reçues plus que de raison mais tu t'es jamais plains. sauf que, du coup, tu t'es surpris à détester la terre entière toi aussi et, plus précisément, à la détester. du coup, t'habites chez elle mais tu l'appelles par son prénom et lorsqu'elle t'en met une, toi, tu lui en colles une aussi. DEPUIS COMBIEN DE TEMPS ETES-VOUS A MT JULIET: coincé dans ce trou depuis toujours, à regarder les gens se disputer la richesse et le pouvoir tout en rêvant de ramasser leur miette. t'es personne, tu resteras personne. GROUPE ANOTHER NAME GOES UP IN LIGHTS (je suppose). QUALITÉS/DÉFAUTS: tu vas pas chercher plus loin que le bout de ton nez, ça t'es égal ce qu'on pense de toi et ce qu'on raconte sur toi. t'es un mec ordinaire et banal même si, tu en conviens, ta vie n'est pas forcément celle d'un jeune adulte de vingt-et-un ans typique. faut croire que ton caractère t'a joué des sacrés tours, à trop en vouloir à la Terre entière, t'as fini par te mettre la Terre entière à dos. du coup, forcément, t'es un mec bougon et rustre, le genre d'homme capable de gifler une femme parce qu'elle l'agace et, surtout, le genre d'homme à ne penser qu'à sa gueule avant de penser à celle des autres. t'es pas généreux, t'es pas gentil, t'es dur, t'es franc et despotique. tu t'en moques du mal que tu peux faire en causant, tu dis les choses comme tu les penses. tu as fait pleurer plus d'un professeur en classe et, même après tout ce temps, t'arrives pas à t'en vouloir. t'es l'exemple même du primate, celui qui se gratte les couilles à table, qui pète au lit et qui pisse dans un buisson sans se soucier des conséquences. égoïste et franchement imbuvable, t'es solitaire parce que ton caractère borderline t'attire des ennuis mais également aux gens qui te sont proches. et ça, tu ne le supportes pas. parce que derrière cette armure intouchable, y a ce gamin paumé qui cherche sa place sans la trouver, celui qui n'a aucun modèle paternel et qui n'sait pas ce que c'est que la gentillesse et l'altruisme. t'es un gamin brisé, détruit et conditionné. t'es mauvais par habitude, parce que c'est plus simple de détester tout le monde que d'aimer à en crever. alors, malgré toi, tu protèges les gens qui t'entourent en te montrant froid et distant. s'ils venaient à s'attacher à toi, tu finirais par les décevoir, et ça... ça tu ne le voudrais pas !
That you’ll come in with the rain. 001. il paraît que tu pourrais être un mec intelligent si tu t'en donnais la peine. faut croire que t'as jamais eu de grandes ambitions dans la vie pour terminer à ramasser les poubelles des autres. de toute façon, l'intelligence est surfaite, t'es très bien comme tu es. 002. ta mère ne t'aime pas, tu l'as lu dans ses yeux. elle a pas besoin de le confirmer, tu sais qu'elle regrette ta naissance au moins autant qu'elle regrette le départ de ton père. c'est ta faute, après tout, si ton père est parti. ce que tu comprends pas, c'est pourquoi tu t'évertues à lui venir en aide puisqu'elle ne te désire pas. 003. t'es noir. ça peut paraître évident pour tout le monde mais pour toi, c'est primordial. être noir, c'est être regardé comme un criminel même lorsque l'on a rien fait. être noir, c'est être jugé comme un voyou sans qu'on ait eu besoin d'ouvrir la bouche. à l'école, personne ne te prenait au sérieux, personne ne s'imaginait que tu avais quelque chose de bien à dire. alors forcément, à être considéré comme un malpropre, t'as choisi de le devenir. voyou, criminel, c'est pas les termes qui manquent pour définir ta personnalité. tu casses, tu briques, tu vols et tu frappes, parce que dans la vie, c'est comme ça que ça fonctionne pour que tu puisses te faire entendre. 004. tu s'rais assez drôle dans ton genre, si seulement on t'en laissait l'occasion. mais on refuse de t'écouter, parce que ta mère, c'est une trainée... et ta famille, des parias. personne n'aime les Duncan ici, personne ne les considère à leur juste valeur. alors toi, toi tu vas pas aller contre l'opinion des gens. t'es pas drôle, parce qu'ils te le permettent pas. ta vie, c'est un combat au quotidien que tu mènes sans savoir pourquoi. 005. être éboueur, c'est un choix. t'aurais pu travailler à la plonge d'un restaurant ou faire des ménages, mais t'as préféré ramasser la merde des autres. t'aimes bien ça parce que t'as pas forcément besoin de prendre soin de toi pour bosser. tu pues quand tu pars le matin, tu pues quand tu rentres le soir et puis, tous ces habits sales, ça agace ta mère. raison de plus pour que t'apprécies ce job. et puis, faut avouer que parfois, tu trouves des trucs sympa dans les déchets... genre le gros pull que tu portes les dimanches, quand t'as pas envie de te prendre la tête pour t'habiller. 006. tu sors beaucoup, tu dépenses une chiée. mais après tout, c'est ton fric, c'est toi qui le gagne. si la moitié de ton salaire disparaît dans les poches de ta mère, par choix, t'avoues que le reste, tu le consumes comme tu en as envie. forcément, t'échappes à rien, tu essaies tout. parce que t'es comme ça, un mec ouvert, un mec curieux et parce que la merde, c'est moins cher que les trucs qui portent une marque. tu fumes ce qu'on te donne pour mois de 10 bocks. ta santé, tu t'en moques. si faut crever un jour, autant choisir sois-même la manière dont ça arrive. 007. t'aurais voulu être musicien, tu trouves ça chouette les noirs qui grattent ou qui pianotent. malheureusement, t'as pas hérité des gênes de ton père qui lui, d'après ta mère, était un mélomane. mythomane, certes, mais mélomane aussi. tu regrettes de ne pas savoir jouer d'un instrument ni même chanter... tu pourrais rapper mais tu trouves ça trop cliché pour t'y rabaisser. de toute façon, ta voix est rauque, trop rauque pour qu'on veuille la poser sur un beat qui déchire. 008. tu sais de ton père que trois choses ; gros pénis, mélomane et français. t'as jamais demandé plus d'informations à ta mère, de toute façon, elle refuserait de t'en parler. à ce qu'il paraît, tu lui ressembles physiquement, c'est sûrement pour ça qu'elle te hait à ce point, ta mère. sauf qu'à ta décharge, t'as pas choisi la tronche avec laquelle t'es venu au monde. alors t'as décidé de laisser pousser tes cheveux et d'avoir des dread, comme ça, tu t'identifies comme personne et elle arrêtera de te gifler en te reprochant d'avoir sa gueule. 009. les filles craignent et les mecs sont lourds. dans une société de surconsommation, tu as réalisé qu'on était tous entouré par des idiots. pas un seul sur cette planète pour en rattraper un autre. on pardonne la maltraitance des animaux et on bannit la pédophilie, on remercie un blanc pour avoir frappé un noir mais on emprisonne un noir pour avoir chouré un carambar. y a plus rien de vrai, tout qui se barre en sucette et puisque le monde implose, toi, tu fais pareil. tu te moques des règles, des conventions et des moeurs. tu braves les interdits et t'emmerdes la société. t'embrasses les filles et tu te mets à genoux devant les mecs, ça a du bon de n'être pas conventionnel. 010. tu fais gaffe à ton poids !
On a history book page It was the end of a decade But the start of an age Ta mère un jour a levé la main haut dans le ciel. Tu pensais qu'elle allait te parler des étoiles et de leur mystère mais à la place, elle s'est contentée de la baisser avec tout autant de violence qu'elle l'avait fait grimper et sa paume, ouverte, s'est écrasée contre ta joue. T'avais quatre ans et tu t'en souviens comme s'il s'agissait d'hier. T'es l'enfant de personne, bâtard qu'elle a ajouté en pleurant, avant de te bousculer et de te faire tomber sur le sol. Tu t'en souviens parce que depuis ce jour-là, t'as une cicatrice sur le crâne que tu caches avec tes ch'veux. Tu t'en rappelles aussi parce que c'est la première fois qu'elle a levé la main sur toi de la sorte et, forcément, le début des emmerdes pour toi. T'es l'enfant de personne est devenu ton mantra, ton leitmotiv. Celui qui t'a poussé à devenir le gamin orgueilleux, malhonnête et hypocrite que tu es aujourd'hui. Tu sais, au fond de toi, que la vérité est toute autre mais à quoi bon aborder le sujet puisque de toute évidence, il n'y a personne ici-bas d'assez malin pour comprendre ta douleur. Toi, l'enfant de quatre ans qui se fait gifler par sa mère, renverser par sa mère. Toi, l'enfant de cinq ans qu'elle oublie dans la voiture pendant des heures ou toi, l'enfant de sept ans qu'elle enferme dans sa chambre pendant trois jours sous prétexte que ta gueule lui rappelait celle de ton abruti de père. Qui peut comprendre la douleur ressentie par l'enfant qui, grandissant, cherche à comprendre pourquoi sa mère lui en veut à ce point, pourquoi personne n'est là pour le border lorsque les cauchemars le hantent et pourquoi personne ne lui offre de cadeau le même jour pour son anniversaire. Toi, l'enfant de personne, l'enfant du monde !
L'enfer, t'y as goûté à l'instant même où, adolescent, t'as décidé d'exister par tes propres moyens. T'étais pas suffisamment intelligent pour qu'on te respecte et ta peau, trop foncée, marquait ta différence et ton inaptitude au raisonnement. T'étais le voyou, le malfrat, le vilain, le mauvais garçon. Etiquettes sur étiquettes, tu les as porté sur toi comme on colle des stickers sur un frigo. Et t'as avancé, la tête haute peut-être, mais le coeur dans les chaussures. T'as fini ta croissance comme on fini une dissertation, une antithèse de tout ce que tu ne seras jamais. Non, pas bachelor, pas universitaire et pas médecin, tu seras personne. Parce que ta mère te le répète tous les jours, parce qu'elle t'aide à l'assimiler en frappant si fort sur ton visage que parfois, tu te rendais en classe la peau plus foncée que tu ne l'avais déjà. On te surnommait bâtard à juste titre, alors pour te faire respecter, t'as emprunté la voie de la facilité. La confiance se gagne au mérite, mais toi, tu as gagné le respect à la violence. T'as soustrait de l'addition les facteurs emmerdants tels que les règlements et conventions et tout à coup, l'équation était plus simple. Frapper pour gagner, frapper pour vaincre. Et te voilà, à seize ans capable de rendre les coups à ta propre mère. Tu t'en rappelles, de la première gifle que tu lui as mise. De ce sentiment de culpabilité et de ces mots que tu lui as craché au visage ; Je suis l'enfant d'une putain. La vérité qui éclate et votre relation qui s'embrase, se dégrade et s'enflamme. Mais tu l'aimes ta mère, comme personne. Le syndrome de Stockholm, celui qui te pousse à aimer de toute tes forces ton agresseur. Tu reviens vers elle, comme le boomerang qu'elle envoie et plus elle t'emmerde, plus tu l'aimes. Les cernes sous tes yeux, la fatigue accumulée et toute cette haine que tu nourris pour eux, pour elle.
Tu ne t'es jamais voilé la face, t'as toujours affronté tes problèmes comme un homme. Tu pouvais pas être avocat alors tu serais l'accusé. Le seul moyen d'assister à la cour étant encore d'y être convoqué. Tu te plais à dire que tes études de droit t'ont été grassement offertes par les forces de l'ordre lorsqu'on te demande pourquoi ton casier judiciaire est aussi long que ton bras. Ouais, tu te plais à répondre que la couleur de ta peau définit tes agissements, comme si le racisme existait encore aujourd'hui. Mais tu te leurres, gamin, parce que t'es comme tous ces gens borgnes qui rêvent d'un idéal. Le paradis n'existe pas, tu l'as compris en essayant de compter les étoiles. Ta mère est une ratée, accro à l'héroïne qui travaille comme caissière dans un store pourri. Ton père s'est barré et a choisi sa liberté plutôt que ta prison maudite, quant à toi, t'es l'enfant de personne, l'enfant du monde.
PSEUDO/PRÉNOM fancy. AGE: vingt-cinq ans. RÉGION/PAYS: enfermé en Suisse, entre quatre montagnes. OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ?: sur bazzart les amis. COMMENT LE TROUVES-TU ?: subliiiiime (mode Cristina ON). SCÉNARIO/INVENTÉ: sort de ma tête l'Sally. UN DERNIER PETIT MOT: adoptez moi, siouplé. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: look at you, looking at me. i know you know how i feel. Mer 12 Aoû - 9:31 | |
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| | | Sally Duncan
Messages : 85 Date d'inscription : 12/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: (dispo')
| Sujet: Re: look at you, looking at me. i know you know how i feel. Mer 12 Aoû - 9:36 | |
| comme on se retrouve en même temps, tous les forums du genre, je les stalke merci merci j'suis content de te retrouver ici ! et j'espère que mon perso' te plaira aussi je bug' sur l'avatar encore, mais j'trouverai bien |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: look at you, looking at me. i know you know how i feel. Mer 12 Aoû - 9:38 | |
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| | | Sally Duncan
Messages : 85 Date d'inscription : 12/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: (dispo')
| Sujet: Re: look at you, looking at me. i know you know how i feel. Mer 12 Aoû - 9:41 | |
| oui, l'destin (trop cool ) il me faut un petit con ! vingt-et-un an, qui déteste le monde entier, qui fout la merde et qui s'en prend à tout le monde. qui souffre de l'absence de son père et qu'est mentalement instable à cause d'une famille décimée et incomplète. sa mère est folle à lier, prête à être interner donc forcément, ça aide pas. quant à lui, il n'est pas loin de sombrer dans la folie, également |
| | | Invité Invité
| | | | Sally Duncan
Messages : 85 Date d'inscription : 12/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: (dispo')
| Sujet: Re: look at you, looking at me. i know you know how i feel. Mer 12 Aoû - 10:46 | |
| le mec qui a même pas écouté tes choix j'aime bien c'gaillard là, t'en penses quoi ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: look at you, looking at me. i know you know how i feel. Mer 12 Aoû - 10:49 | |
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| | | Sally Duncan
Messages : 85 Date d'inscription : 12/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: (dispo')
| Sujet: Re: look at you, looking at me. i know you know how i feel. Mer 12 Aoû - 10:54 | |
| adjugé, vendu ! |
| | | Seth Golightly -- RUN BOY RUN
Messages : 1083 Date d'inscription : 05/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: 4/6 rps (levi, maeth)
| Sujet: Re: look at you, looking at me. i know you know how i feel. Mer 12 Aoû - 12:04 | |
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| | | Mae Wolfstone heart means everything ﻬ
Messages : 750 Date d'inscription : 05/08/2015 Housing : (n°29) hove path (leeds village) Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: 4/4) - close. ( erin, cane, maeth, levi)
| | | | Sally Duncan
Messages : 85 Date d'inscription : 12/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: (dispo')
| Sujet: Re: look at you, looking at me. i know you know how i feel. Mer 12 Aoû - 13:37 | |
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| | | Seth Golightly -- RUN BOY RUN
Messages : 1083 Date d'inscription : 05/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: 4/6 rps (levi, maeth)
| Sujet: Re: look at you, looking at me. i know you know how i feel. Mer 12 Aoû - 14:24 | |
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| | | Sally Duncan
Messages : 85 Date d'inscription : 12/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: (dispo')
| Sujet: Re: look at you, looking at me. i know you know how i feel. Mer 12 Aoû - 14:31 | |
| merciii (je l'ai mis pourtant) |
| | | Seth Golightly -- RUN BOY RUN
Messages : 1083 Date d'inscription : 05/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: 4/6 rps (levi, maeth)
| | | | Sally Duncan
Messages : 85 Date d'inscription : 12/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: (dispo')
| Sujet: Re: look at you, looking at me. i know you know how i feel. Mer 12 Aoû - 14:35 | |
| merci beaucoup |
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| Sujet: Re: look at you, looking at me. i know you know how i feel. | |
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