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| laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) | |
| Auteur | Message |
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Madison Williams
Messages : 58 Date d'inscription : 17/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: 1/3 free
| Sujet: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) Lun 17 Aoû - 23:03 | |
| -{ williams madison }-( baby i'm yours ) - willa fitzgerald + ©willafitzgerald@tumblrNOM PRENOM: Tu te souviens, t'étais celle dont on connaissait le nom, il fusait dans les couloirs à la vitesse de l'éclair, il ricochait entre les murs du lycée, il résonnait dans les rues, Williams Madison, un nom sonnant français se mariant à un prénom américain, c'était beau, c'était mignon, c'était simple, t'aurais juste voulu changer. AGE: T'as vingt-trois printemps, t'es toute jeune, t'as à peine passé la majorité, t'as encore la tête d'une gamine, une enfant jetée dans le monde des adultes un peu trop tôt. DATE DE NAISSANCE/LIEU: Nahsville, c'est grand, le monde se confond, la foule se mélange, les genres, les esprits, les religions, c'est là que t'as vu le jour un certain vingt-quatre janvier. T'as jamais aimé ta date de naissance, naître après les fêtes, c'est pas le top, les porte monnaies font la gueule et ton entourage ne s'est jamais vraiment fouler, donner tout à noël, tout à ton anniversaire ou entre les deux, mais jamais deux fois plus de cadeaux. ORIGINE(S)/NATIONALITÉ: si on suit la logique de ta petite existence, t'es américaine ayant probablement des origines françaises, ton nom de famille de trompe pas, mais t'as vu le jour sur le sol des amerlos. . MÉTIER/ETUDES: tu vois du monde passer, tous les jours, des regards de travers, des sourire qui en disent long sur le taux d'hypocrisie grimpant un peu plus, des clients tantôt tirant la gueule, tantôt bruyants, toujours la même rengaine, un bonjour, un sourire, ça fera tant et tant de dollars, le boulot d'une caissière quoi. SITUATION FINANCIÈRE: tu t'en sors bien ça va, tu peux t'autoriser des extra sans devoir bouffer des pâtes toutes les semaines. Les fins de mois peuvent se montrer rudes de temps en temps, mais tu sais gérer ta thune. SITUATION AMOUREUSE: t'as une boîte de pringles, c'est bon, c'est fidèle, ça parle pas et surtout, ça possède de nombreuses saveurs. SITUATION FAMILIALE: Tes parents te pouponnaient trop, t'étais leur unique fille, la petite qu'il fallait protéger contre tout mais surtout contre tous, t'étais proche d'eux, vraiment et puis il y a eu cette merde, ce bordel, cet ouragan qui a effacé leurs beaux sourires, leurs éclats de rire et surtout, leur fierté. DEPUIS COMBIEN DE TEMPS ETES-VOUS A MT JULIET: ça fait deux ans, deux petites années que t'es dans cette ville qui t'a ouvert les bras, qui t'a protégée, t'as l'impression d'y être depuis toujours, tu connais chaque recoin, chaque nom de rue, c'est ton chez toi. GROUPE we wil remembered. QUALITÉS/DÉFAUTS: t'es la grande soeur qu'on aurait tous aimé avoir, celle qui se jette sur le lit, sans rien dire mais qui sait quand rien ne va, quand le monde tourne pas rond, tu sais réconforter, tu sais trouver les mots, parce que t'es intelligente, ça t'a souvent joué des tours, tête d'ampoule, intello, t'en as entendu, des surnoms tous plus à chier les uns que les autres, et pourtant, c'est ce qui fait que t'es humaine, que tu comprends, t'as cette empathie qui fait qu'on aime te parler, se confier à toi. T'as du caractère, outre ta bienveillance, t'es franche, tu peux te montrer colérique quand on te froisse un petit peu, mais tu restes une personne mystérieuse, une âme blessée qui s'est formé une coquille pour se protéger. That you’ll come in with the rain. → t’as la capacité émotionnelle d’une petite cuillère, c’est vrai, tu peux très vite éclater en sanglot que ce soit devant un film à l’eau de rose ou tout simplement en voyant une personne de ton entourage blessée, malheureuse, t’es pas un caillou insensible, non, t’es une éponge à sentiments, t’es comme ça. → Il t’arrive de péter des câbles, de t’énerver sur quiconque te vexe, te pousse à bout, tu prends bien souvent les choses au premier degré, t’es blessée, t’es meurtrie, tu ne supportes pas la moindre remarque. → t’aimes la musique, elle fait un avec toi, tu te trémousses bien souvent chez toi, au beau milieu de la nuit comme au petit matin, au grand damne de très voisin. → t’es curieuse de tout, tu fourres ton nez où il ne faudrait pas, t’as une soif de découvert insatiable, tu veux te nourrir à coup de paysages époustouflants et de voyages à t’en faire péter le crâne, découvrir de nouveaux horizons, de nouvelles cultures, t’as envie de bouger, tout le temps. → t’es franche, tu dis les choses comme elles te viennent, t’aimes pas les petits secrets, parler tout bas et faire fuser des rumeurs, c’est pas toi. → t’es polie avec le monde, mais lui, ne te le rend pas forcément, t’aimes les bonjour, les bonsoir et les merci alors que beaucoup n’ont pas ces mots dans leur vocabulaire. → t’es une grande sœur ambulante, t’as une bienveillance inégalable envers ton entourage, t’as de bons conseils, t’aimes parler de tout et de rien, gronder quand quelqu’un enchaîne les mauvais pas, être là dans les meilleurs comme les pires moments → tu ne supportes pas les réseaux sociaux, ces déversoirs à haine, c’est quelque chose qui te répugne, tu te contentes d’avoir un téléphone, c’est tout. → t’as un chat, c’est ton ami, ton compagnon, ton confident, il s’appelle copain, c’est pas commun et t’aimes ça. → il t’arrive de te sentir belle, quand t’enfiles une robe, que tu te coiffe correctement, ça arrive pas souvent, mais t’aimes bien. → t’aimes traîner dehors la nuit, c’est ton petit plaisir. T’as pas peur des étrangers, tu sais te battre, te défendre, t’as une grande gueule, tu sais remettre les gens à leur place quand ils abusent, t’approchent, te cherchent. → ancienne toxico, tu tiens depuis maintenant deux petites années, tu t'es sevré, ou plutôt, on t'a aidé à décrocher. → les hommes, tu t'y connais et ça t'a pas laissé de bons souvenirs, tu préfère les éviter, ne pas t'accrocher, la chute fait moins mal. On a history book page It was the end of a decade But the start of an age + wonder, oh wonder.
T’étais bien gamine. T’étais bien parce que tu te souciais de rien, le monde ne te bousculait pas, il te chérissait presque, t’étais innocente, tout était beau, en couleurs. T’avançais, simplement, tu traçais ta route au milieu d’une famille aimante, beaucoup trop sûrement, mais tu les aimais, tes parents. T’étais madame tout le monde, t’essuyais quelques remarques désagréables de la part de tes camarades, jaloux probablement. C’était ça les enfants, s’insulter, sans trop savoir la définition des mots employés, l’impact des lettres sur un esprit fragile, même ce mépris enfantin était presque mignon à voir. Toi, tu te taisais, tu ne jurais pas, jamais, parce que t’avais tout simplement été élevée dans une famille pieuse, tu ne pouvais pas déblatérer des insultes comme les autres bambins, alors tu haussais les épaules quand eux le faisaient, ils se retrouveraient en enfer, ou quelque chose comme ça. Tu te retrouvais tous les dimanches à genoux, essayant de comprendre la moindre parole d’un mec qui tu ne connaissais même pas, mais qui te demandais de croire en une chose que tu n’avais jamais vu, jamais entendu, jamais touché. C’était ça, le monde, boire la moindre belle parole pour espérer avoir un truc en retour, mais il n’y avait rien. T’étais devenu la petite fille parfaite, une mary sue sous ses plus belles coutures. On louchait sur ta copie en cours, on te complimentait, on t’aimait, il t’aimait. Adolescente, tu ne faisais pas partie de l’équipe de cheerleadeur, t’étais pas à la pointe de la technologie, ni encore moins au courant des nouvelles tendances, non, t’étais bien loin de tout ça. Et pourtant, il s’était approché de toi, t’avait pris dans ses bras un bon nombre de fois, il te murmurait des mots doux à l’oreille et souvent même, te faisait l’amour. C’était l’idylle parfaite, celle dont on rêve depuis qu’on est gosse, tu l’avais, elle était à toi. T’avais abandonné tes pseudos croyances pour plonger dans cette vie inconnue.
C’était qu’une fois, une seule fois. T’étais là, allongée sur le lit, à moitié à poil. T’avais l’air d’une pute dans un bordel. Ca bougeait autour de toi, un épais brouillard voilait ta vue, le monde paraissait flou, lent. T’avais jamais picolé de ta vie, tes lèvres n’avaient pas touché une goutte d’alcool depuis le début de ta petite existence, non, t’avais déjà tapé dans le haut du panier, tu t’étais cru dans breaking bad. Tu te souviens de lui, t’embrassant langoureusement avant de te proposer un délice couteux. T’avais basculé dans en enfer, un shoot inoffensif, au fond, ça allait être le seul, l’unique. T’allais te relever, repartir comme si rien ne s’était passé, et pourtant, t’étais couché sur ce lit, en plein bad trip, c’était bon et mauvais à la fois, tu bougeais tout en étant immobile, c’était nouveau, c’était étrange. Il t’avait entraîné là, lui. Il était responsable de toi, lui. Et pourtant, lui, se foutait bien de ta gueule, caméra en main, mort de rire pendant que t’agonisais dans ton coin. Etalée là, complètement à poil pour le plaisir de ces messieurs autour de toi, incapable de vomir le moindre mot, la moindre phrase, tu gémissais sans trop savoir quoi dire, tu ne t’en rendais pas compte, non, tu ne t’en rendais vraiment pas compte, mais tu devenais la putain de ton lycée, la catin facile, la toxico incapable de se débattre. Ils ne t’avaient pas touché, mais leurs yeux te violaient malgré tout.
+ one day baby, we'll be old.
T’avais des notifications qui pleuvaient tous les jours. Des messages de haine, des invitations en tout genre, toutes plus louches les unes que les autres. Tu t’en fichais pas mal, tu continuais d’arpenter les couloirs de ton lycée sans même écouter les rumeurs qui fusaient aux quatre coins du bâtiment. Il avait posté ta vidéo sur internet, tu te souviens ? Tes larmes qui avaient coulées le long de tes joues rouges de honte, de colère, de tristesse. Tu te voyais là, épave, allongée sur un matelas à moitié inconsciente, c’était pas toi, non, t’arrivais pas à y croire. Ta nudité et ta mine minable exhibée aux yeux de tous. Ce souvenir amer de ta soirée toxico avait été retirée aussi vite qu’elle était apparue, et pourtant, t’étais déjà fichée. Tu te souviens avoir passé les portes de ton école, les poings fermés, sourde, aveuglée par la colère, tu l’avais attrapé par l’épaule, il t’avait souri avant de se retrouver, ta main enfoncée dans sa gueule dans un claquement sourd, le son se cognant entre les murs, attirant l’attention des élèves présents. Les bouches étaient ouvertes, les rires s’élevaient doucement derrière toi, tandis que lui, te regardait, plongé dans une incompréhension totale, incapable de s’exprimer. T’avais fait marche arrière, sans te retourner une dernière fois, bousculant les quelques idiots qui se trouvaient sur ton passage avant de poser ton cul sur une chaise. C’était ton quotidien, les moqueries, les gestes et gémissements explicites, t’avais jeté ton téléphone et ton ordinateur, tu refusais de retourner sur facebook, twitter et toutes ces conneries de déversoirs à haine. T’avais quoi ? Dix-huit ans à peine et ta vie était fichue. Tes parents t’avaient reniés en apprenant tes pêchés, incapable de te pardonner. Tu créchais tantôt dans un foyer, tantôt chez les rares amis qui te restaient et tu continuais, oui, tu continuais à te remplir les poumons, le nez et les veines de merde, tout ce que tu pouvais trouver, tu l’ingurgité, le sniffais ou te le plantait dans ton petit corps frêle. Tu tremblais, ton estomac se vidait sans cesse, tu te tordais de douleur, t’avais peur, t’allais probablement mourir. Tu souffrais, clairement, t’étais au bout de ta vie, à vingt-et-un ans t’allais te retrouver six pieds sous terre, c’était triste, malheureux et pourtant ça n’allait pas arriver. Tu te sevrais, ou plutôt, on t’aidait. Il était passé par là, un jour, au coin d’une rue, il avait croisé ton regard, sans comprendre comment, tu t’étais retrouvée à le suivre, entourée de sa douce veste. Il sentait bon, il était beau, il était gentil. Il t’avait tiré de l’enfer. T’avais terminé tes études, t’avais pas trouvé de boulot, croupissant dans les rues depuis une petite année. Il t’avait probablement déjà aperçu, un jour à un endroit, le lendemain à l’opposé, tu bougeais sans cesse. Il t’avait offert un toit, un vrai, sans même demander quelques sous, non, simplement quelques mots lancées comme une promesse. Et tu l’avais fait. Te sevrer pour vivre avec lui. Il était ton père spirituel, ton ami, ton confident, il était tout pour toi. T’avais arrêté le crack pour lui, pour ses beaux yeux, pour sa fierté. T’étais plus paumée, tu remontais doucement la pente, tu souriais à nouveau, tu prenais soin de toi. Tu te souviens t’être levé, un matin, à l’aube. T’aimais ça, l’aube, c’était beau, c’était rose et frais, c’était calme. T’avais enfilé une jolie robe, tu voulais te faire belle, ce jour-là, parce que tu le sentais bien. T’avais descendu les escaliers, doucement, pour ne pas le réveiller, il devait dormir, il avait veillé sur toi tant de nuits, que ses heures de sommeil s’étaient envolées bien loin. La maison était vide, t’étais seule. T’avais fouillé tous les recoins du foyer, t’avais appelé sur son téléphone, t’avais patienté des semaines, dans la peur, dans l’angoisse de découvrir un cadavre planqué quelque part, t’avais pleuré surtout, énormément. Les mois s’étaient enchaînés, t’étais majeure, vaccinée et perdue. T’avais piqué toute son argent, ou plutôt emprunter, il te devait bien ça. Tu t’étais retrouvée à l’aéroport, piochant un numéro d’avion qui te plaisait, qui était beau à prononcer, pas trop compliqué à retenir, celui qui te bottait le plus, t’avais pas regardé la destination, t’avais juste sauté dedans, pleine d’espoir. Mt Juliet t’avait ouvert ses bras, te faisant découvrir de nouveaux horizons. Tu pouvais redémarrer ta vie, c’était pas l’paradis et pourtant, tu t’y sentais bien, un boulot minable pour des revenus médiocres, un mal pour un bien, t’as troqué ta petite vie tranquille pour plonger tête baissée, t’as abandonné tes biens pour une liberté certaine. Les hommes ne semblaient pas t’aimer, ils te jetaient, ils partaient sans un mot et toi, tu ne t’attachais plus.
PSEUDO/PRÉNOM .gosling ; delphine AGE: vingt ans. RÉGION/PAYS: alsace profonde du zimbabwe. OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ?: je suis monsieur scotty malone, le rouquin un peu trop cute . COMMENT LE TROUVES-TU ?: toujours aussi seksy. SCÉNARIO/INVENTÉ: inventé. UN DERNIER PETIT MOT: petits poulets kfc |
| | | Seth Golightly -- RUN BOY RUN
Messages : 1083 Date d'inscription : 05/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: 4/6 rps (levi, maeth)
| Sujet: Re: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) Lun 17 Aoû - 23:05 | |
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| | | Lily Fields-Birns we'll be lucky if we ever see the sun.
Messages : 191 Date d'inscription : 12/08/2015 Housing : petite maison sur hove road, avec derek, son frangin. Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: 2/4 (levi, myo) + open
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) Mar 18 Aoû - 0:06 | |
| Bienvenue parmi nous |
| | | Mae Wolfstone heart means everything ﻬ
Messages : 750 Date d'inscription : 05/08/2015 Housing : (n°29) hove path (leeds village) Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: 4/4) - close. ( erin, cane, maeth, levi)
| Sujet: Re: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) Mar 18 Aoû - 0:23 | |
| t'es trop canon toi. |
| | | Ismaël Wolstenholme i think i move but i go nowhere.
Messages : 289 Date d'inscription : 14/08/2015 Housing : loft à floxglove way w/ sevan Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: (fletcher, scotty, tc)
| Sujet: Re: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) Mar 18 Aoû - 0:39 | |
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| | | Madison Williams
Messages : 58 Date d'inscription : 17/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: 1/3 free
| Sujet: Re: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) Mar 18 Aoû - 0:45 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) Mar 18 Aoû - 9:23 | |
| MA GAMBAS POÊLÉE T'es canon, ça va me donner envie de faire des courses (dommage que je sois pas un gars ) Re-bienvenue, joteeeeeem |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) Mar 18 Aoû - 12:00 | |
| comment elle est belle elle je connais pas le vava mais omfg, je vais la violer bienvenue parmi nous |
| | | Madison Williams
Messages : 58 Date d'inscription : 17/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: 1/3 free
| Sujet: Re: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) Mar 18 Aoû - 16:46 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) Mar 18 Aoû - 20:49 | |
| ce choix de malade pour ton DC j'aime tellement rose, c'est un véritable coup de coeur ces temps-ci (re)bienvenue parmi nous avec ce personnage qui promet |
| | | Mace Golightly
Messages : 364 Date d'inscription : 11/08/2015 Housing : a small apartment in leeds village where she lives with her puppy, bobby. Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: (4/3) closed. (samir, connor, seth/tamsin, tc)
| | | | Jay Moore
Messages : 205 Date d'inscription : 10/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: (4/5)
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) Mer 19 Aoû - 17:05 | |
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| | | Invité Invité
| | | | Madison Williams
Messages : 58 Date d'inscription : 17/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: 1/3 free
| Sujet: Re: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) Mer 19 Aoû - 23:13 | |
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| | | Mae Wolfstone heart means everything ﻬ
Messages : 750 Date d'inscription : 05/08/2015 Housing : (n°29) hove path (leeds village) Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: 4/4) - close. ( erin, cane, maeth, levi)
| Sujet: Re: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) Ven 21 Aoû - 20:24 | |
| Bonjour La réservation de ton avatar se termine aujourd'hui. Il est possible que tu te retrouves en compétition à partir de maintenant. Il te reste jusqu'à Dimanche pour finir ta fiche avant qu'elle ne soit déplacée dans les fiches en danger et si tu as besoin d'un délais supplémentaire pour la terminer, préviens l'une des administratrices |
| | | Seth Golightly -- RUN BOY RUN
Messages : 1083 Date d'inscription : 05/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: 4/6 rps (levi, maeth)
| | | | Madison Williams
Messages : 58 Date d'inscription : 17/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: 1/3 free
| Sujet: Re: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) Jeu 27 Aoû - 1:38 | |
| merci pour le délai et mille pardons pour ne pas avoir prévenu plus tôt, j'ai été très prise ces derniers temps en tout cas, j'ai bouclé avant l'ultime jour, si c'est pas beau ça ! |
| | | Seth Golightly -- RUN BOY RUN
Messages : 1083 Date d'inscription : 05/08/2015 Carnet de bord RELATIONS.: Disponibilité: 4/6 rps (levi, maeth)
| Sujet: Re: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) Sam 29 Aoû - 9:56 | |
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| Sujet: Re: laisse-moi tiser mon mojito p'tit kirikou (maddie) | |
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